Quand les Kurdes jouent l’ouverture
Publié le 26 janvier 2005 Lecture : 0 minute.
Libérés au mois de juin après neuf ans de détention, les anciens députés Leyla Zana, Ohran Dogan et Hatip Dicle, symboles de la résistance de la minorité kurde, envisageraient de former un parti social-démocrate ouvert à toutes les composantes
de la société turque et non aux seuls Kurdes. À cette fin, ils ont engagé des consultations avec des syndicalistes, des intellectuels et des hommes d’affaires dans le
cadre du Mouvement populaire démocratique qu’ils ont constitué à leur libération.
