Coup d’envoi d’Africa 2005
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Organisée du 3 au 10 janvier par l’antenne béninoise de l’association Africa 2005, l’opération « Le Bénin dans le village global » donne le coup d’envoi de l’Année internationale de l’Afrique. C’est la première fois dans le monde qu’une opération d’une telle envergure, généralement initiée par les Nations unies, est déclenchée spontanément par la société civile. Après le Bénin, où se dérouleront, pendant une semaine, colloques, conférences et fêtes populaires, d’autres pays africains prendront le relais pour célébrer, à leur manière et au moment qu’ils auront choisi, leur participation au mouvement d’ensemble.
Ailleurs dans le monde, plusieurs manifestations entrant dans le même cadre s’étaleront sur l’année. Au Royaume-Uni, notamment, débutera, mi-février, un programme culturel impliquant progressivement les principaux musées du pays. Africa 2005 (www.africa2005.com) a été créée il y a deux ans et demi par une poignée de personnes issues d’horizons professionnels variés, réunies par la volonté de changer durablement l’image du continent aux yeux de l’opinion publique internationale. L’association rassemble aujourd’hui plus de 7 500 membres, individus, entreprises et institutions, qui, au fil du temps, se sont ralliés à l’objectif commun, chacun apportant sa pierre à l’édifice. Africa 2005 dispose d’antennes dans les principales capitales occidentales (Paris, New York, Montréal, Londres, Bruxelles), ainsi que dans chacun des 53 pays africains.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise