Optimisme de rigueur
Le gouvernement vise un taux de croissance annuel du produit intérieur brut de 6 %, tout en s’engageant à contenir l’indice des prix à la consommation. Pour soutenir ce rythme, le pays doit impérativement mobiliser les flux financiers des opérateurs privés, notamment étrangers, ainsi que les concours financiers de ses partenaires bi- et multilatéraux. Le taux d’investissement, qui est « retombé » à 26 % du PIB en 2005, reste toutefois relativement élevé pour un pays de la zone franc. En outre, il devrait être dopé par les dizaines de millions d’euros qui seront libérés chaque année du service de la dette pour être réinvestis dans les programmes de développement.
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