Comment la « crise de la TVA » a été dénouée
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À Niamey, les négociations entre le gouvernement et la Coalition contre la vie chère ont bien failli ne jamais aboutir. Alors que le premier proposait de baisser le taux de la TVA sur certains produits de première nécessité de 19 % à 18 %, la seconde exigeait une exonération totale. C’est Maman Abou, directeur du journal Le Républicain et représentant du patronat, qui a débloqué la situation en suggérant, le 16 avril, de supprimer la taxe sur le lait et la farine de blé et de la maintenir à 19 % pour le sucre, un « produit marginal », selon lui. L’accord a finalement été conclu le 19 avril (voir page 13).
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