Bockel sur la sellette
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Le Secrétaire d’État à la Coopération et à la Francophonie, Jean-Marie Bockel, conservera-t-il son poste à l’occasion du remaniement ministériel qui devrait suivre les élections municipales des 9 et 16 mars ? Le leader de « Gauche moderne », qui brigue un quatrième mandat à Mulhouse avec le soutien de la majorité présidentielle, fait face à deux listes de poids : l’une dissidente de l’UMP, et l’autre du Parti socialiste (dont Bockel a été exclu après son entrée au gouvernement en juin 2007). Commentaire de l’un de ses proches : « Soit il est battu et il sera débarqué, soit il gagne dès le premier tour et il changera de portefeuille avec le titre de ministre plein, soit, hypothèse la plus probable, il l’emporte au second tour et il restera à la Coopération. » Un suspens auquel n’est pas confrontée une autre personnalité jadis très proche du PS : Claude Allègre. L’ancien ministre de l’Éducation de Lionel Jospin est en effet donné partant pour un grand ministère qui regrouperait l’Industrie, la Recherche, les Nouvelles Technologies et l’Enseignement supérieur.
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