À la recherche d’investisseurs de rechange
Les autorités tunisiennes auraient décidé de créer deux fonds communs de placement de 100 millions de dinars (57 millions d’euros) chacun, l’un en obligations, l’autre en obligations et en devises. Objectif : attirer de nouveaux investisseurs internationaux susceptibles de pallier d’éventuelles défaillances d’investisseurs du Golfe, affaiblis par la crise financière, dans les projets immobiliers pharaoniques qu’ils ont annoncés dans le pays.
Au total, les monarchies pétrolières ont promis d’investir une cinquantaine de milliards d’euros sur quinze ans dans des projets comme Sport City, un complexe touristique et sportif à Tunis conçu par la société émiratie Bukhater (4 milliards d’euros d’investissement), ou celui de Sama Dubai (10,2 milliards), qui doit faire émerger une ville nouvelle sur la rive sud du lac de Tunis.
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