Ils ont dit

Publié le 23 octobre 2005 Lecture : 2 minutes.

Condoleezza Rice
Secrétaire d’État américaine
Il y a eu des informations préliminaires sur le terrain, en Irak, dans le sens du oui au référendum. Mais j’ai expliqué que nous ne saurions pas tant que nous ne saurons pas.

Angela Merkel
Chancelière allemande
Je veux continuer à cuisiner de la soupe de pommes de terre et à mener une vie tout à fait normale.

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Thierry Breton
Ministre français des Finances
Un ministre des Finances, ce n’est pas madame Soleil. Il ne prédit pas l’avenir, il l’éclaire.

Cherif Bassiouni
Professeur de droit américain, président de l’International Rights Law Institute
Au final, pour le procès Saddam, tout est devenu américain, administrativement et financièrement. Environ trois cents personnes travaillent sur le projet à la solde des Américains.

Robert Mugabe
Président du Zimbabwe
Devons-nous approuver Bush et Blair, qui, à la manière de Hitler et Mussolini, ont formé une alliance impie pour attaquer des pays innocents ? Nous n’approuvions pas Saddam, mais nous voulions que le peuple d’Irak ait le droit de décider qui devait le diriger.

Lesley Mashokwe
Porte-parole du ministre sud-africain de l’Intérieur
Les gens sont prêts à tout pour venir chez nous. Certains traversent des rivières
infestées de crocodiles, et il n’est pas rare que d’autres se fassent manger par des lions.

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Chris Patten
Chancelier de l’université d’Oxford
Notre population diminue et vieillit. Ce qui menace véritablement le bien-être des
Européens, ce n’est pas le plombier polonais, ce sont les informaticiens et les
scientifiques asiatiques.

Bénabar
Chanteur français
Ce qui me tient à cur, c’est mon bonheur, et celui des autres aussi, sachant que je préfère m’acheter un écran plat que donner l’oseille à des associations. Je suis comme beaucoup.

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David Hare
Dramaturge britannique
Le Prix Nobel Harold Pinter a introduit un peu d’air frais dans le poussiéreux grenier de la littérature britannique classique. Nous avons un auteur que l’on jouera encore dans cinquante ans, peut-être même dans un siècle.

Françoise Vergès
Vice-présidente du Comité pour la mémoire de l’esclavage
La question de la traite et de l’esclavage est centrale, elle permet de dire : « Pourquoi
n’avons-nous pas la place que nous méritons dans ce pays ? »

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