Le gouvernement « censuré » à Bouznika
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Le gouvernement d’Abbas El Fassi a failli être victime du congrès de l’Union socialiste des forces populaires (USFP), qui s’est tenu à Bouznika du 13 au 15 juin (voir pp. 42 à 45 ). Pas moins d’une quarantaine de résolutions ont été déposées à la présidence, enjoignant au parti de quitter la coalition au pouvoir et aux cinq ministres socialistes de démissionner. Le congrès étant souverain et la grogne parmi les délégués à son comble, de telles motions auraient été adoptées haut la main. La suspension des travaux pour six mois a fait qu’elles n’ont pas été examinées.
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