Le palmarès du Quai d’Orsay
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À la fin du mois de mars, Michel Barnier, le chef de la diplomatie française, a, comme chaque année, adressé aux patrons des grandes entreprises un document confidentiel dans lequel sont présentés les pays (chacun gratifié d’un indice de risque) considérés par son ministère comme « émergents ». Autrement dit : ceux où il peut être intéressant d’investir. Ils sont, cette année, au nombre de cinquante-deux, dont un quart d’africains. Le nombre de ces derniers passe de neuf à treize : six francophones, six anglophones (dont deux nouveaux venus : le Ghana et le Botswana) et un lusophone.
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