Salif Keita sort ?la tête haute
Au football, l’éthique commande de débuter un match à égalité de chances et durant la partie de respecter les lois du jeu, l’arbitre et l’adversaire. Une élection à la CAF n’est pas un match. Elle obéit à des conventions, des règles et des rites auxquels l’ancien footballeur que je suis ne peut pas adhérer, car ce serait se renier. Je me retire donc du jeu. » C’est par ces mots que, le 18 janvier, le Malien Salif Keita annonça, devant l’assemblée générale de la CAF, le retrait de sa candidature à l’élection au comité exécutif de la Fifa. Dès son arrivée au Caire, il s’est vite rendu compte que les dés étaient pipés et que pour la nomemklatura de la CAF, il était persona non grata.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Abidjan convoque le chargé d’affaires burkinabè sur fond d’accusations de déstabil...
- Bénin : comment le putsch contre Patrice Talon devait être financé
- Bénin : Olivier Boko, les sacs de billets et les accusations de complot contre Pat...
- Ce que le Burkina Faso reproche à Serge Mathurin Adou, journaliste ivoirien interp...
- Pourquoi Alassane Ouattara réunit personnellement les caciques du RHDP