Un site qui vit au ralenti

Publié le 20 avril 2008 Lecture : 1 minute.

Géré par la Société nationale d’électricité (Snel), le site d’Inga dispose d’un formidable potentiel énergétique, mais seulement deux centrales hydroélectriques y ont été installées : Inga I et Inga II. Entrée en service en 1972, Inga I compte six turbines, pour une capacité de production de 350 MW. Inaugurée en 1982, Inga II, d’une capacité installée de 1 424 MW, est formée de deux unités : Inga II A et Inga II B. Construite par un consortium piloté par le belge Acec Énergie, Inga II A dispose de quatre turbines (1 à 4) et Inga II B, dont la construction a été assurée par un consortium conduit par Siemens, comprend quatre turbines (5 à 8). Faute d’entretien, depuis le milieu des années 1980, deux machines sont arrêtées à Inga I et les quatre autres tournent au ralenti. À Inga II, cinq turbines sont à l’arrêt.

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