Mise au point
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Raouf Najar, l’ambassadeur de Tunisie en France, nous fait part de son « étonnement » de voir figurer son pays sur la carte de ceux touchés par les émeutes de la vie chère (J.A. n° 2466) : « Tant la mention de la Tunisie que la date indiquée n’ont aucune justification », écrit-il. Il s’agit effectivement d’une confusion de notre part : les troubles qui ont affecté, début avril, la région minière de Gafsa et auxquels nous faisions allusion relevaient d’un conflit d’ordre social – en particulier le problème de l’emploi des jeunes – et non de protestations contre le prix des denrées de base.
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