L’audiovisuel public en ébullition
Patron de la Radiotélévision camerounaise (CRTV) depuis le 28 janvier, Amadou Vamoulké entend réveiller cette institution que la gestion de son prédécesseur, Gervais Mendo Zé, avait plongée dans une profonde léthargie. Récemment consultés, les cadres de la CRTV ont effet dressé un constat accablant : « personnel démotivé, promotions fantaisistes, appareil de production tombé en désuétude »… Pour remettre au travail les trois mille salariés de l’entreprise publique, Vamoulké a sollicité les experts de l’Institut de management de Yaoundé. Un audit est en cours et un sondage sur les attentes des téléspectateurs en préparation. Une première !
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Au Mali, le Premier ministre Choguel Maïga limogé après ses propos critiques contr...
- CAF : entre Patrice Motsepe et New World TV, un bras de fer à plusieurs millions d...
- Lutte antiterroriste en Côte d’Ivoire : avec qui Alassane Ouattara a-t-il passé de...
- Au Nigeria, la famille du tycoon Mohammed Indimi se déchire pour quelques centaine...
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?