Qui prendra les quinze nouveaux gisements ?
Publié le 20 janvier 2008 Lecture : 1 minute.
Après plusieurs reports, un appel à manifestation d’intérêt pour l’exploration pétrolière et gazière de quinze blocs, en Algérie, vient d’être lancé à l’intention des compagnies étrangères par l’Agence nationale pour la valorisation des ressources hydrocarbures (Alnaft). Il a pour but de présélectionner des opérateurs qui pourront participer aux appels à la concurrence. Les entreprises internationales – retenues en fonction des apports (transferts de technologie, partenariat à l’international, échanges d’actifs) qu’elles proposeront à Sonatrach pour contribuer à son développement à l’international – mèneront les explorations en partenariat avec la société algérienne, qui détiendra la majorité des parts. « Le fruit de cet appel se verra dans quatre ou cinq ans », estime le ministre de l’Énergie, Chakib Khelil. Cette opération fait aussi figure de test après l’instauration, en 2006, d’une taxe sur les superprofits pétroliers, contestée par les compagnies étrangères.
