Dialogue de sourds
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La polémique avec l’ONU à propos de la décision de nommer une commission d’enquête indépendante sur les attaques-suicides du 11 décembre (voir p. 43) n’est pas près de retomber. Les propos de Kemal Dervis, administrateur du Pnud, dont le siège algérois a été détruit par l’attentat, compliquent la tâche des diplomates. « Nous avions sollicité des autorités algériennes un renforcement des conditions de sécurité après la vague d’attentats kamikazes ayant ciblé des bâtiments officiels à Alger. Elles n’ont pas refusé, mais juste ignoré nos requêtes. » Or Kemal Dervis, après s’être rendu à Alger au lendemain de l’attaque, s’était félicité du degré de coopération entre le gouvernement algérien et son institution.
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