Toyota Hilux, roi des pick-up

Publié le 19 novembre 2006 Lecture : 1 minute.

Douze millions d’exemplaires vendus sous toutes les latitudes depuis 1967 : le pick-up Hilux est bien la voiture mondiale de Toyota. En Afrique du Sud, il est même numéro un des ventes, devant berlines et 4×4 traditionnels. Car le Hilux, né à l’origine pour les travaux de force, a su élargir son rayon d’action au fil des années pour devenir également véhicule familial ou de loisirs. Certes, la circulation urbaine n’est pas son exercice favori : un mastodonte de 5,26 m est forcément bâti pour les grands espaces. Mais une fois franchis les murs de la ville, le Hilux sait tout faire. Malgré un essieu arrière rigide, son confort reste correct sur route. Et quand le bitume s’arrête, il continue son chemin à travers pistes, se moquant des obstacles grâce à sa garde au sol de 21 cm, son réducteur de vitesse et son blocage de différentiel.
En vérité, il existe trois Hilux, en fonction de l’usage désiré. La base reste la même. Seule la carrosserie change : simple cabine, cabine étendue, double cabine. La première définition est réservée aux tâches utilitaires : deux places, 2,32 m de longueur de benne. Elle est d’ailleurs proposée en entrée de gamme Hilux avec une version deux roues motrices et un moteur 2.5 diesel de 120 ch, au prix de 19 000 euros. À l’opposé, la version double cabine est plus luxueuse. Car elle doit travailler dur la semaine, mais aussi transporter la famille le week-end : cinq places, 2,30 m de longueur de benne, moteur 3.0 diesel de 171 chevaux.
Le nouveau Hilux a ainsi gardé ses qualités foncières et soigné sa ligne pour reprendre ses distances vis-à-vis du Nissan Navarra et du Mitsubishi L200. Car il domine désormais ses principaux rivaux par la taille et la polyvalence, tout en proposant des tarifs plus serrés !

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