Michelin fait pression sur l’Algérie
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
En octobre, après les menaces d’Al-Qaïda à l’égard des ressortissants français travaillant au Maghreb, Michelin a rapatrié ses 40 cadres français qui travaillaient à l’usine d’Hussein Bey, près d’Alger. Mais ce départ survient sur fond de négociations avec les autorités algériennes. Michelin n’est pas satisfait du rendement de l’usine, rouverte en novembre 2002, après neuf ans d’inactivité. Le site emploie près de 500 personnes pour une production de 250 000 pneus de camions par an. Michelin se plaint de subir régulièrement des délestages électriques : 50 coupures en 2006 Et déplore l’importation sauvage de pneus chinois.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise