Humour, saillies et sagesse
Pour vous faire sourire, grincer des dents – ou réfléchir -, ici, chaque semaine, une sélection subjective, la mienne, de ce qui a été dit ou écrit au cours des siècles par des hommes et des femmes qui avaient des choses intéressantes ou drôles à nous dire.
Publié le 18 novembre 2007 Lecture : 1 minute.
– Comment faut-il désormais vous appeler : monsieur le professeur ou monsieur le président ? demande la cuisinière de la présidence à Haïm Weizmann, le jour de son élection à la tête de l’État d’Israël.
– Cela m’importe peu, pourvu que le potage soit bon !
– Plus on est nombreux à penser la même chose, moins il vient à l’idée qu’on pourrait tous se tromper. Grégoire Lacroix
– La paresse, c’est se lever à six heures du matin pour avoir plus longtemps à ne rien faire. Tristan Bernard
– L’ambition est impitoyable : tout mérite qui ne la sert pas est méprisable à ses yeux. Joseph Joubert
– Je t’aime pour la vie, ce soir. Louise de Vilmorin à Orson Welles
– Si l’avenir des entreprises se lisait dans leur histoire, les bibliothécaires seraient milliardaires. Warren Buffett
– L’amour, c’est l’égoïsme en deux personnes. Stanislas de Boufflers
– Toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un bon ami. Voltaire
– Le fleuve fait des détours parce que personne ne lui montre le chemin. Proverbe Mitsogho (Gabon)
– La sortie est une entrée que l’on prend dans l’autre sens. Boris Vian
– On ne peut répondre de son courage quand on n’a jamais été dans le péril. La Rochefoucauld
– Toutes les belles femmes ne sont pas belles. Seule est belle celle qui sied à ton cur. Proverbe tibétain
– Il est plus facile d’être amant que mari, par la raison qu’il est plus difficile d’avoir de l’esprit tous les jours que de dire de jolies choses de temps en temps. Honoré de Balzac
– Le verbe aimer est un verbe très difficile à conjuguer. Au passé, il n’est pas simple ; au présent, il est imparfait ; et au futur, il est conditionnel. Jean Cocteau
– Chaque homme a trois caractères : celui qu’il a, celui qu’il montre et celui qu’il croit avoir. Alphonse Karr
– Son job, au Mossad, était tellement secret que lui-même ne savait pas ce qu’il faisait. Anonyme
