Béchir
Publié le 18 novembre 2007 Lecture : 1 minute.
Béchir, c’est le temps des héritiers, ou plutôt vous concernant le temps pour les porteurs de témoin de se mettre en place pour que se poursuive la mission. Cette mission que vous avez perçue vôtre et toujours assumée : « le devoir d’informer, la liberté d’écrire ».
Avec noblesse, avec intelligence, avec réalisme quelquefois froid, avec tendresse quelquefois rude.
Puisqu’il faut partir, il faut savoir partir ; vous avez entamé cet indispensable et incontournable départ. Sans regret.
Je n’ai guère été surpris par votre annonce. Je suis convaincu que Jeune Afrique sera toujours là.
Jeune, j’attendais avec impatience Afrique Action comme aujourd’hui, j’attends Jeune Afrique.
Puisse Jeune Afrique préserver ce qui fait la force de la jeunesse, ce qui fait l’Afrique : la vigueur, le courage, la générosité, la solidarité, une certaine idée de l’homme et du monde, la foi en l’homme et en Dieu !
