Journalistes pour l’environnement

Publié le 18 mars 2007 Lecture : 1 minute.

Pour lutter contre la dégradation de ses écosystèmes, le continent mise sur l’information. C’est dans cet objectif que le Réseau africain des journalistes de l’environnement, plus connu sous son acronyme anglais, Anej (pour African Network of Environmental Journalists), a été créé il y a deux ans au siège du Programme des Nations unies pour l’environnement, à Nairobi. Présidé par le Mauritanien Sidi el-Moctar Cheiguer, l’Anej compte aujourd’hui plusieurs centaines d’adhérents.

Le réseau vient d’obtenir le soutien de la Commission européenne, qui lui a accordé une subvention de 370 000 euros qui servira à organiser, dans le courant de cette année, six conférences dans six capitales africaines. L’objectif est évidemment de convaincre les dirigeants de l’urgence d’une meilleure gouvernance écologique. Les chefs d’État des pays hôtes seront fermement invités à prendre des engagements concrets.
La première de ces conférences réunira, fin avril à Nouakchott, les francophones d’Afrique de l’Ouest. Une seconde se tiendra ultérieurement dans un pays francophone qui reste à choisir. Suivront trois rencontres pour les anglophones (Johannesburg et Kigali, entre autres, sont pressenties) et une pour les arabophones.

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