Dégâts collatéraux
Dommages collatéraux du scandale des déchets toxiques d’Abidjan (voir pages 60-67), la Fédération nationale des industries et services de Côte d’Ivoire (FNISCI) envisage d’obtenir de l’État qu’il déclare Abidjan victime de catastrophe naturelle et verse des indemnités à ses adhérents affectés par la pollution. Certaines sociétés spécialisées dans l’agroalimentaire et riveraines des zones infectées sont en effet obligées de fermer purement et simplement et de mettre une croix sur tout ou partie de leurs stocks. Tandis que d’autres, qui continuent de fonctionner, ne disposent plus de la totalité de leurs personnels à cause des arrêts maladie. Réunie le 13 septembre, la FNISCI a commis un avocat chargé de défendre ce dossier auprès des pouvoirs publics en vue d’obtenir des dommages et intérêts.
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