Casse-tête ougandais
Si la Cour pénale internationale (CPI) abandonne les poursuites contre les chefs rebelles ougandais de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), « elle créera un précédent susceptible de faire jurisprudence et de remettre en cause la quasi-totalité des mandats d’arrêt en cours ». C’est ce qu’affirment plusieurs hauts fonctionnaires de la CPI, alors que le président Yoweri Museveni cherche à trouver des solutions « alternatives » aux mandats émis à l’encontre du chef de la LRA, Joseph Kony, et de ses trois lieutenants (voir page 59) auxquels il a promis l’amnistie si un accord de paix définitif est conclu d’ici à la fin de septembre.
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