Du sang au prix fort
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La recrudescence des attentats en Irak a accru les besoins des hôpitaux en sang. La Banque du sang locale ayant du mal à collecter les quantités nécessaires pour secourir les blessés, un commerce parallèle d’« or rouge » s’est organisé dans les couloirs des établissements de santé. Le flacon se négociant désormais à 20 dollars, des dizaines d’individus au chômage ont fait du don de leur sang leur principal gagne-pain. Certains n’hésitent pas, au péril de leur santé, à se soumettre à plusieurs prises par mois, alors que la loi irakienne stipule que celles-ci doivent être espacées d’au moins trois mois.
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