État providence
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Après les criquets, puis la sécheresse, causes d’un important déficit céréalier dans les pays sahéliens, l’augmentation du prix de l’essence a aggravé la flambée des prix des denrées alimentaires de première nécessité. Pour la juguler, le ministère burkinabè de l’Agriculture a débloqué ses réserves, qu’il vend au prix de 10 000 F CFA (15 euros) le sac de 100 kg. Au Mali, où le maïs et le riz ont augmenté de 65 % en un an, les autorités
ont entrepris la distribution gratuite de 21 000 tonnes de céréales, soit un tiers du
stock de sécurité.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Comment Tiani accélère la mise en œuvre du pipeline Niger-Tchad
- Dans l’aérien, Sky Mali joue la carte de l’alliance des compagnies sahéliennes
- L’Algérienne Imane Khelif dépose plainte contre Donald Trump, Elon Musk et J. K. R...