Le yoyo du pétrole
Les fluctuations importantes du baril de pétrole sont la preuve que le marché obéit plus à la spéculation qu’à la loi de l’offre et de la demande. Le 12 avril, les agents boursiers apprennent que les réserves des États-Unis (1er consommateur mondial, 24 % du total) sont en progression et que la demande de la Chine (2e avec 12 %) est en baisse. Le lendemain, le baril tombe de 52 à 50 dollars.
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