Tiercé gagnant
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À trois jours de l’élection du président de la Banque africaine de développement (BAD), le 18 mai, un trio de favoris se dégageait. Dans le désordre : Kingsley Amoako (Ghana), Donald Kaberuka (Rwanda) et Casimir Oyé Mba (Gabon). Le soutien des deux plus importants actionnaires de la Banque – le Nigeria (8,98 % des voix) pour les Africains et les États-Unis (6,54 %) pour les non-Africains – sera évidemment déterminant. Mais une impasse n’est pas à exclure, comme ce fut d’ailleurs le cas en mai 1995 : un candidat pourrait parfaitement obtenir la majorité absolue et ne pas être élu en raison du nombre insuffisant des suffrages africains qu’il aurait recueillis (voir aussi pages 106-108).
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