Privés de visas français
Théodore Simburudali, président de l’Association de défense des intérêts des rescapés du génocide (Ibuka), et l’un de ses collègues devaient se rendre en France pour participer à des colloques organisés à l’occasion du 13e anniversaire du génocide de 1994. La France n’ayant plus d’ambassade à Kigali, ils se sont adressés à la représentation diplomatique belge. Celle-ci, après avoir consulté Paris, leur a rendu leurs passeports avec une fin de non-recevoir. À Kigali, on parle de « déni de justice ».
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