L’opinion du rédacteur en chef
La mission des techniciens français en Afrique ne m’a jamais semblé clairement définie.
Ils ont gagné des titres, mais n’ont pas laissé d’héritage. Mais le leur demandaiton ?
Leurs employeurs évitent toujours d’établir un besoin clair et cohérent. Cette carence explique les nombreux errements constatés. Est-il normal qu’en 2006 de nombreux pays
africains en soient encore à considérer la couleur de la peau et la nationalité comme des critères déterminant le choix du responsable de l’encadrement d’un sport que leurs enfants pratiquent avec bonheur depuis plus d’un demi-siècle ?
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