Les nouveaux habits du Baas
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Faute d’une victoire militaire de plus en plus aléatoire, les États-Unis se démènent pour trouver une solution politique à la situation en Irak. Celle-ci n’exclut pas le parti Baas. Iyad Allaoui, l’ancien Premier ministre, et même Ahmed Chalabi, champion pourtant de la débaasification à outrance, ont pris langue avec les anciens dirigeants du parti panarabe. De son côté, le Baas envisage de s’adapter à la nouvelle donne. Pour ce faire, ses anciens chefs voudraient que leur parti soit considéré comme une formation politique parmi d’autres – quitte à abandonner son nom – et qu’il puisse participer aux futures élections.
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