Paris reçoit la société civile
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Un entretien, le 11 janvier, au ministère français des Affaires étrangères avec la conseillère Afrique de Philippe Douste-Blazy, Nathalie Delapalme. Un autre, le 15 janvier, à l’Élysée avec le chef de la cellule Afrique, Michel de Bonnecorse. « C’est une reconnaissance », se réjouit Delphine Djiraibé, la coordinatrice nationale du Comité de suivi de l’appel à la paix et à la réconciliation au Tchad, qui était accompagnée de Djibrine Assali Hamdallah, secrétaire général de l’Union des syndicats du Tchad (UST), et du père Aubert Dipou Nodjimongoum de la Commission justice et paix. « Paris doit comprendre que la seule solution pour ramener durablement la stabilité au Tchad passe par l’organisation d’un véritable dialogue national réunissant toutes les composantes du pays. La France est un partenaire privilégié et nous comptons sur la communauté internationale pour faire pression sur N’Djamena. Ni la signature d’accords parcellaires avec les rebelles (voir page 41) ni la confiscation du pouvoir par le régime Déby Itno n’amèneront la paix », précise l’avocate et militante des droits de l’homme.
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