Les promesses de la terre
La contribution de l’agriculture à l’économie gabonaise s’approche péniblement de 5 % du PIB. Les marges de progression sont donc importantes, et l’agro-industrie peut constituer l’un des axes prioritaires de la diversification alors que les surfaces cultivées ne représentent que 1 % environ du territoire. Près de 60 % des produits végétaux consommés à Libreville sont importés, une proportion qui passe à 70 % pour la viande. La privatisation réussie d’Hévégab (hévéa) et d’Agrogabon (huile de palme), deux sociétés nationales aux déficits abyssaux rachetés par le groupe belge Siat (Société d’investissement pour l’agriculture tropicale), montre que des investisseurs étrangers croient au potentiel agricole du pays.
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