Le CPA plombé par des créances douteuses
La privatisation du Crédit populaire d’Algérie (CPA), suspendue le 21 novembre 2007 en raison de la crise des subprimes aux États-Unis, devait repartir à la fin du premier trimestre 2008. Sur six postulants, trois, l’américain Citibank, l’espagnol Santander et le Crédit agricole, ont jeté l’éponge pour laisser le champ libre à la Banque populaire, BNP Paribas et la Société générale. Mais la crise financière mondiale n’expliquerait pas tout. Le CPA aurait sur les bras 65 milliards de dinars (690 millions d’euros) de créances impayées auprès de 350 opérateurs privés.
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