Le bilan des casseurs revu à la baisse
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Selon le ministère ivoirien de l’Économie et des Finances, le bilan des pillages et des saccages orchestrés, en novembre 2004, par les « Jeunes patriotes » favorables au président Laurent Gbagbo a été largement surévalué par la Chambre de commerce et d’industrie. Ainsi, le nombre des emplois perdus ne dépasserait pas trois mille, loin donc des trente mille annoncés. Par ailleurs, près de la moitié des huit mille ressortissants français qui ont quitté la Côte d’Ivoire pendant les « événements » seraient déjà revenus et auraient repris leurs activités.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise