Privatisation en rade à Brazzaville

Publié le 13 février 2005 Lecture : 0 minute.

La privatisation du Chemin de fer Congo-Océan (CFCO) est mal engagée. Après le retrait, au mois d’août 2004, de la candidature du groupe français Bolloré, un appel d’offres international avait été lancé, mais n’a pas donné de résultat. Seul repreneur potentiel : le sud-africain Sheltam Mvela, dont les compétences en matière ferroviaire sont sujettes à caution. Le gouvernement chercherait à conclure un accord de gré à gré pour échapper aux contraintes d’un appel d’offres. Coût de la mise en concession : 25 milliards de F CFA (38,1 millions d’euros).

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