Mariama Diallo, étudiante
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Fille de fonctionnaires internationaux guinéens basés à Nairobi, Mariama vit à Québec depuis deux ans. « Ma sur y était installée et m’a poussée à franchir le pas. Je venais de terminer mon master d’économie du développement, à la Sorbonne, à Paris. Je n’avais pas de CDI, et ma carte de séjour étudiant expirait. Ici, l’immigration offre beaucoup de souplesse. On peut faire une demande de résidence permanente à distance. »
Inscrite à l’Institut québécois des hautes études internationales de l’université Laval, elle finance ses études en travaillant comme assistante de recherche. Pour les étrangers, les frais de scolarité sont de 5 000 dollars canadiens (3 345 euros) par semestre. Les Canadiens et les Français, en vertu d’accords bilatéraux, paient cinq fois moins. Dès qu’elle aura obtenu son diplôme, Mariama envisage de postuler auprès d’organisations internationales pour, un jour, rentrer en Afrique.
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