Avions d’affaires : l’embarras du choix
Le « Business Jet » a un bel avenir devant lui : des hommes d’affaires de plus en plus pressés ou de plus en plus riches sont prêts à acheter – seuls ou en copropriété, cash ou leasing – des avions capables de parcourir d’une traite des distances allant jusqu’à 12 000 km au prix de 30 à 40 millions de dollars pièce (voire plus selon le luxe et la gamme). Selon les prévisions de Honeywell Aerospace, les livraisons de jets atteindraient 9 900 unités d’ici à 2015, avec, pour commencer, 803 en 2006 et 900 en 2007. Et un chiffre d’affaires annuel moyen de 17 milliards de dollars (au taux de change de 2005). Les constructeurs rivalisent d’ingéniosité technologique en matière de sécurité, de look extérieur et de confort intérieur. Les concurrents du nouveau Falcon 7X de Dassault ou du Challenger 850 de Bombardier ne manquent pas : la série G100 des Gulfstream, les Citation de Cessna, les Phenom et Legacy d’Embraer, ou encore les Beech de Raytheon.
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