L’État gabonais cherche une solution

Publié le 12 février 2006 Lecture : 1 minute.

Omar Bongo Ondimba, le président gabonais, et Antoine Schwarz, le président de Radio France Internationale, se sont entretenus le 10 février à Paris des difficultés actuelles d’Africa n°1, la radio africaine francophone que contrôle partiellement l’État gabonais (son siège est à Libreville). La station a en effet été fragilisée par la décision de RFI, qui souhaite désormais privilégier la modulation de fréquence, de renoncer à la location du relais ondes courtes de Moyabi. « C’est une perte de recettes non négligeable et un motif de préoccupation pour le gouvernement », a commenté René Ndemezo’Obiang, le ministre de la Communication. Conscient de la nécessité « de faire des économies et d’améliorer la gestion », le ministre a toutefois indiqué qu’il n’était « pas question de laisser disparaître Africa n°1 ». Ce qui suppose que l’État trouve une solution de rechange.

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