Jaziri-Gomaa : palmes de l’anti-fair-play
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Au classement officieux de l’anti-fair-play, deux participants à la XXVe CAN se détachent. Le premier est le Tunisien Zied Jaziri. Cet attaquant – il est professionnel à Troyes – ne manque pas de qualités, mais il est devenu, depuis quelques saisons, un spécialiste du truquage, de la provocation et de la simulation, le tout agrémenté d’une propension à jouer les victimes. Le 4 février, à Port-Saïd, en quart de finale, face aux Super Eagles du Nigeria, Jaziri, contré par le défenseur Joseph Enakarhire, « plongea » avec tellement de conviction dans la surface de réparation que le naïf arbitre seychellois Eddy Maillet lui accorda un penalty. Mais José Clayton, le « spécialiste » des Aigles de Carthage, rata la transformation. Le stoppeur égyptien au crâne rasé, Wael Gomaa, est, lui, un spécialiste des charges irrégulières. Chacune de ses interventions est précédée ou accompagnée d’une poussée dans le dos, d’un tirage de maillot ou d’une « cravate ». Mais, à chaque fois, Wael a bénéficié d’une fâcheuse impunité.
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