Ils ont dit

Publié le 11 novembre 2007 Lecture : 1 minute.

Nicolas Sarkozy
Président français
– Si à chaque fois qu’on se rend dans un pays pour régler un problème on porte atteinte à l’indépendance de ce pays, il n’y a qu’à rester chez soi. Comme ça, on ne risque aucun problème.

Charles Cogan
Ancien directeur de l’antenne parisienne de la CIA
La classe politique américaine s’est entichée de Sarkozy, mais cette fascination est très exagérée et risque de ne pas durer. Tôt ou tard, l’enthousiasme retombera.

la suite après cette publicité

Pervez Musharraf
Président pakistanais
– Je suis déterminé à enlever mon uniforme dès que l’équilibre entre ces trois piliers que sont le judiciaire, l’exécutif et le parlementaire aura été modifié.

Pirmin Schwander
Député ultranationaliste suisse
– Nous ne sommes pas contre les étrangers. Du moins pas contre les bons, ceux qui travaillent dur.

Kevin MacDonald
Cinéaste britannique
– Les Américains sont complètement déboussolés. Ils se demandent où va leur pays et ce qu’il représente encore aujourd’hui.

Simone Veil
Ancienne ministre française
Mon premier réflexe est toujours de dire non. Je commence par m’opposer, c’est ainsi. Pas pour contrarier, mais pour forcer à explorer d’autres voies.

la suite après cette publicité

Keith Jarrett
Jazzman américain
– Quand le temps sera venu de m’en aller, j’aimerais ne pas mourir à l’hôpital. Je demanderai aux médecins qu’ils m’amènent sur scène. Une scène avec un piano.

Sir Howard Davies
Directeur de la London School of Economics
– Les Britanniques souhaitent le retour du civisme et de la discipline à l’école. Ils veulent réduire les beuveries, que la libéralisation des heures d’ouverture des pubs a aggravées. Le libéralisme de Blair est allé un peu trop loin.

la suite après cette publicité

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Contenus partenaires