Beyrouth : retour en enfer
Le 8 mai, dans la capitale libanaise, des miliciens chiites du Hezbollah font le coup de feu contre leurs adversaires progouvernementaux, tandis que l’armée se signale par son absence. Née d’une journée de revendications sociales vite marquée par de nombreux débordements, la situation politique du pays, toujours privé de présidence légitime, ne cesse de se dégrader.
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