Beyala et les jeunes des banlieues
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Moins d’un an après avoir décrit le milieu du show business dans L’Homme qui m’offrait le ciel (Albin Michel), dans lequel elle raconte les déboires d’une écrivaine africaine abandonnée par le célèbre animateur de télé dont elle est amoureuse, c’est dans un tout autre décor que Calixthe Beyala a situé son nouveau roman : la banlieue parisienne. Construit autour de la vie d’une adolescente métisse, le livre, dont l’écrivaine franco-camerounaise a déjà remis le manuscrit à son éditeur habituel, décrit une jeunesse issue de l’immigration en perte de repères et dont les relations avec la famille comme avec les autres institutions sont vécues sur le seul mode de la violence.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise