Réouverture du dossier Imam Sadr
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Longtemps mise en veilleuse, l’enquête judiciaire sur la disparition, il y a vingt-huit ans en Libye, de l’imam Moussa Sadr sera bientôt réactivée. Mardi 4 juillet, Charles Rizq, le ministre libanais de la Justice, a confié le dossier au juge d’instruction Samih el-Haj. Une semaine plus tôt, le Premier ministre Fouad Siniora, en visite à Rome, avait obtenu de son homologue italien Romano Prodi la promesse de la collaboration des autorités de la péninsule à l’investigation. Une attitude qui irrite au plus haut point le régime du colonel Kadhafi. Pointé du doigt par la famille Sadr, ce dernier a toujours prétendu que le dignitaire chiite s’était envolé en août 1978 de Tripoli, où il était en visite, pour Rome, ville dans laquelle il se serait mystérieusement volatilisé.
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