et au Parlement
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Les vérificateurs externes sur le Parlement panafricain (PAP) sont arrivés à Accra avec une petite bombe. Depuis 2004, les membres du bureau et les parlementaires se sont attribué en toute impunité des per diem et des indemnités défiant toute concurrence (700 euros par jour, pour certains). Le budget de l’institution avait tellement explosé qu’en janvier le Conseil exécutif avait ordonné au PAP de n’utiliser qu’un douzième de son budget précédent jusqu’à ce qu’il soumette les comptes vérifiés des exercices 2004, 2005 et 2006. Et ordonné à tous les membres du PAP de rembourser les sommes perçues depuis trois ans.
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