Le Cameroun dans tous ses états
Publié le 6 mai 2007 Lecture : 2 minutes.
Affluence des grands jours, le 17 avril, à l’hôtel Hilton de Yaoundé. Pour le lancement national de l’Atlas du Cameroun, dernière production en date d’une collection d’ouvrages de ce type publiés par les Éditions J.A., filiale du Groupe Jeune Afrique, le Premier ministre Ephraïm Inoni avait tenu à présider lui-même la cérémonie. À ses côtés, une bonne douzaine de ministres et de secrétaires d’État dont le numéro deux du gouvernement Amadou Ali, garde des Sceaux, les ministres d’État Augustin-Frédéric Kodock et Bello Bouba Maïgari, leur collègue de l’Économie et des Finances Polycarpe Abah Abah, Suzanne Bomback (Promotion de la femme et Famille), Claubert Tchatat (Urbanisme et Habitat), Charles Salé (Industrie et Mines), Emmanuel Bonde (Fonction publique), Adoum Garoua (Jeunesse), Aboubakary Sarki (Pêches et Industries animales), etc. Mais aussi les ambassadeurs de France, de l’Union européenne et des Pays-Bas, des journalistes, des hommes d’affaires et des personnalités clés de la République comme le directeur général de la Sûreté Edgard-Alain Mebe Ngo et le patron de la Gendarmerie Jean-Baptiste Bokam.
Directrice générale des éditions et vice-présidente du Groupe Jeune Afrique, Danielle Ben Yahmed a expliqué au cours de son allocution la genèse et l’utilité de cet Atlas, le premier du genre sur le Cameroun, édité en français et en anglais. Un ouvrage de 120 pages alliant rigueur scientifique et accessibilité à tous (étudiants, enseignants, responsables politiques et économiques, investisseurs), illustré d’une cinquantaine de cartes et réalisé par une équipe pluridisciplinaire de vingt-cinq chercheurs et universitaires camerounais et français, sous la direction du géographe Christian Seignobos de l’IRD (Institut de recherche pour le développement).
« Beaucoup de Camerounais vont apprendre à connaître leur pays grâce à cet ouvrage », a commenté Ephraïm Inoni, qui se propose de le distribuer à travers les universités et lycées du pays. Longuement reçue l’après-midi du même jour par la Première dame Chantal Biya, à qui elle a remis un exemplaire de l’Atlas (ainsi que le Mandela, récemment publié), Danielle Ben Yahmed ne pouvait espérer meilleur compliment
