Coopération OCDE-Monde arabe
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
L’intégrité de la fonction publique, le respect du droit, l’indépendance de la justice, le rôle de la société civile et de la presse, l’accès aux services sociaux, la gestion de l’argent public… Autant de questions que les pays arabes, dès lors qu’ils espèrent attirer les investisseurs étrangers, ne peuvent plus se permettre d’occulter. Ils tentent même d’y réfléchir sérieusement avec, pour la première fois, l’assistance de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Deux conférences ministérielles ont déjà eu lieu en Jordanie (la dernière, le 7 février), à l’issue desquelles la décision a été prise de constituer six groupes de travail mixtes (pays arabes-OCDE). Objectif : la mise en place d’un mécanisme d’« examen par les pairs » (Peer Review), qui permet de donner un avis indépendant sur la qualité de la « gouvernance » des pays candidats, tant sur le plan économique que politique.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise