Un prince héritier peut en cacher un autre

Publié le 5 décembre 2004 Lecture : 1 minute.

Votre revue, Jeune Afrique/l’intelligent, hebdomadaire politique et économique international, a su, quarante-quatre années durant, être constamment à l’affût de l’événement pour le rapprocher, autant que faire se peut, de ses lecteurs partout dans le monde, toujours avides du détail et de la précision, du sens de l’observation et de la profondeur de l’analyse. En cela, elle s’est forgé un nom, s’est construit une audience et s’est donné une crédibilité. Le mérite en revient, bien entendu, à son fondateur et à l’équipe qu’il a su choisir pour l’accompagner dans cette oeuvre si délicate, qui consiste à se frayer, au milieu de la rumeur, de la désinformation et de l’opacité, le chemin des faits établis, des paroles prononcées et, mieux encore, des hypothèses réelles ou supposées qui les sous-tendent.
C’est dans cet élan informatif que Jeune Afrique/l’intelligent s’est intéressé tout naturellement aux obsèques de Cheikh Zayed Ibn Sultan al-Nahyane, ce grand homme d’État dont il a dressé un portait fort élogieux, citant les personnalités étrangères qui étaient présentes à ces funérailles nationales dont, au nom de S.M. le roi Mohammed VI, Son Altesse Royale le prince Moulay Rachid, frère du souverain, que votre revue a désigné, probablement dans un instant d’inattention, comme étant le prince héritier du Maroc (J.A.I. n° 2287, page 126). Aussi souhaitons-nous préciser à vos lecteurs, si nombreux et si attentifs, que l’héritier du trône du royaume du Maroc est Son Altesse Royale le prince héritier Moulay El Hassan, fils de S.M. le roi Mohammed VI.

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Contenus partenaires