Verbatim

Publié le 5 octobre 2008 Lecture : 1 minute.

« Cette crise me paraît être un grave exemple de mauvaise gouvernance, en particulier venant de ceux qui sermonnent souvent les dirigeants africains sur ces questions. »
Paul Derreumaux PDG de BOA Group

« La nouvelle positive, c’est qu’une bonne partie du marché boursier africain a fait preuve d’une grande résistance. Le point négatif, c’est que des investissements en Russie ou au Brésil pourraient être plus attractifs. »
Yassine Benjelloun Managing director, Medicapital à Londres (groupe BMCE)

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« Pour les pays émergents comme l’Algérie, le Maroc ou la Tunisie, les banques internationales vont être plus exigeantes pour leurs prêts. Les flux d’investissements vont se tarir. »
Moulay Amazirh Commissaire aux comptes et président d’Inter Control

« Je ne pense pas qu’il y ait un effet direct de la crise internationale sur le Maroc. Nos banques ne sont pas exposées à la crise des subprimes. »
Youssef Benkirane Président de BMCE Bourse et de l’APSB (Association professionnelle des sociétés de Bourse)

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