Plus de cent ingénieurs par an
Spécialisée dans les technologies de l’information et de la communication, Sup’Com forme des ingénieurs de haut niveau. On y accède après deux ans de prépa (math sup. et math spé.) et un concours national. Le cursus se fait ensuite en trois ans : deux années de formation de technicien en télécoms, suivies d’une année de spécialisation. Celle-ci porte sur les réseaux de télécommunications mobiles (comme le GSM), la sécurité des réseaux ou encore l’informatique. Sup’Com, qui forme une centaine d’ingénieurs par an, compte 370 étudiants en formation initiale, auxquels il faut rajouter 150 étudiants en formation continue. L’école a, en effet, ouvert un cycle à l’intention des entreprises. Les formations sont payantes et représentent un appoint non négligeable : entre 30 % et 40 % du budget. Pour ce qui est du corps enseignant, Sup’Com présente un des meilleurs taux d’encadrement du pays, avec 60 professeurs permanents (soit environ 6 élèves par enseignant). L’école fait aussi régulièrement intervenir des vacataires du secteur privé qui font profiter les étudiants de leur expérience du terrain. Enfin, on trouve sur le campus des équipes de recherche réparties en trois domaines : les réseaux mobiles ; la sécurité des réseaux (cryptage…) ; le traitement de l’image et le multimédia.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Abidjan convoque le chargé d’affaires burkinabè sur fond d’accusations de déstabil...
- Bénin : comment le putsch contre Patrice Talon devait être financé
- Bénin : Olivier Boko, les sacs de billets et les accusations de complot contre Pat...
- Ce que le Burkina Faso reproche à Serge Mathurin Adou, journaliste ivoirien interp...
- Pourquoi Alassane Ouattara réunit personnellement les caciques du RHDP