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Publié le 5 février 2006 Lecture : 1 minute.

Gaston Kelman avait réalisé un coup de maître en 2004 avec Je suis noir et je n’aime pas le manioc (Max Milo), dont les ventes (poche compris) atteignent 200 000 exemplaires. Son deuxième livre, Au-delà du Noir et du Blanc (Max Milo), sorti en septembre dernier, approche déjà 25 000 exemplaires.

Ancien rédacteur en chef de Jeune Afrique, le journaliste Georges Henein, décédé en 1973 à 59 ans, était aussi un écrivain d’une grande originalité. La plupart de ses livres – dont une bonne partie ont été édités en Égypte, son pays d’origine – étaient devenus introuvables. Denoël vient de publier un gros volume de 1 050 pages rassemblant l’essentiel de ses textes (romans, poèmes, articles) et sobrement titré uvres.

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Les manuscrits en bamoun, langue de l’ouest du Cameroun, sont menacés de disparition. Ceux qui n’ont pas été pillés sont rongés par les termites. L’ambassade des États-Unis à Yaoundé a lancé un projet de préservation de ces documents exceptionnels, permettant par là même de mieux faire connaître l’écriture créée en 1896 par le roi Ibrahim Mbombo Njoya.

Dirigées par le chercheur franco-béninois Dieudonné Gnammankou, les éditions Monde Global ont lancé leur premier ouvrage en décembre dernier : Histoire millénaire des Africains en Asie, de l’historien américain Runoko Rashidi.

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