Un mois de réflexion
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Le groupe belgo-néerlandais Fortis devait annoncer le 30 juin le sort qu’il entend réserver à la Belgolaise, sa filiale, et aux douze établissements qu’il possède en Afrique subsaharienne, notamment la BIAO-CI, la troisième banque ivoirienne. En fait, le personnel du siège, à Bruxelles, et celui de l’antenne parisienne ont été informés que les négociations dureraient encore un mois. Fortis, qui privilégie la vente en bloc de l’ensemble (voir J.A.I. n° 2320), serait en pourparlers avec un repreneur originaire de la région du Golfe, qui disposerait de la capacité financière requise pour maintenir et développer l’activité africaine. Si cette solution échoue, tout porte à croire que les filiales africaines seront revendues au plus offrant, dans chaque pays, et que les activités en Europe seront intégrées au réseau de Fortis.
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